Pourquoi Torrents de Vie ?

La question de l’identité et des problèmes relationnels se trouvent actuellement au centre des débats, tant sur le plan politique, culturel et religieux. De plus, nous souffrons de blessures, reçues souvent tôt dans l’enfance : abandon, absence de père et de mère, rejets et abus de toutes sortes qui ont laissé en nous des carences et des marques profondes.Notre besoin fondamental d’intimité et d’appartenance n’est pas comblé et nous empruntons alors des chemins générateurs de confusions et d’errances. Incapables de résoudre nos conflits intérieurs, nous cachons notre peur d’être rejeté, nous couvrons notre désespoir et dissimulons notre double vie, ce qui affecte souvent notre confiance en Dieu et notre vision de Lui comme Père.

Notre action

La démarche de Torrents de Vie France est basée sur l’Évangile et les sciences humaines avec pour objectif de trouver des réponses aux questions de l’identité d’homme et de femme, des problèmes relationnels et des confusions au niveau de l’expression de la sexualité. Cela peut toucher tous problèmes de sexualité confondus, de l’hétérosexualité, des traumatismes suite à des abus sexuels, des problèmes de couple et de l’homosexualité.

Un lieu de sécurité et de confidentialité

Torrents de Vie offre un lieu de sécurité et de confidentialité à travers ses sessions d’accompagnement à toute personne désirant entrer dans un chemin de réconciliation et de liberté en Jésus-Christ.

Qui participe ?

Des hommes et des femmes célibataires, en couple mariés ou divorcés.
Des personnes chrétiennes, de toutes confessions et traditions ecclésiales.
Des personnes cherchant une aide pour leur vie spirituelle, leurs difficultés intérieures, leur vie relationnelle et sexuelle, leurs questions identitaires.

De la liberté d’expression et d’opinion

Torrents de Vie France appelle à l’amour du prochain et au respect de tout être humain, indépendamment de ses choix de vie personnels.

Nous affirmons le droit à la liberté pour tous d’émettre une opinion différente au nom de convictions politiques, religieuses ou philosophiques (Article 10 de la Convention européenne des Droits de l’Homme), y compris pour ceux et celles qui pensent que la pratique homosexuelle n’est pas un facteur d’épanouissement et d’équilibre. Ce droit relève des fondements même de notre République.